Autour de quatre témoignages anonymes, Alice Bienassis questionne le rapport au corps dans la pratique du bondage également appelé shibari et la communication à l’autre.
Le dessin permet d’entrer dans des univers où la force du regard subjectif compte autant que l’exploration documentaire. On trouve ainsi dans l’approche en immersion bienveillante d’Alice Bienassis la volonté de porter ses lumières sur des sujets méconnus assombris pas des malentendus.