Après un ou deux ou dix ou vingt massacres de trop, Bouyoul est condamné à suivre un « stage d’Anger Management » comme disent les Brexitters. Bouyoul parviendra-t-il à maîtriser sa colère et son impulsivité ? Au prix de combien de cadavres sanguinolents ?
Qu’est-ce qui est gros, vert, qui veut bien faire mais échoue souvent, qui met bien plus d’énergie à cacher ou déguiser ses bêtises qu’à éviter de les faire, et qui revient pour un nouvel album génial ?